Le pardon

Le pardon

Roger Vercellino-Aris « Pardonner sans contrepartie risque d’être perçu comme l’amorce d’une tendance à cautionner le mal. L’offenseur peut penser que son acte n’est pas grave. L’objectivité de la faute est alors atténuée ou éliminée, et le pardon devient synonyme de faiblesse.Si pardonner signifie admettre une situation d’iniquité, d’inégalité et de tolérance laxiste, alors bien sûr il n’y a respect ni de l’autre ni de soi »

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